La Chrnologie Des Styles De Peinture

Leda

auteur	Antonio Allegri
date	1530-1531 sur
technique	huile sur toile
dimensions	152 × 191 cm
emplacement	Gemäldegalerie (Berlin), Berlin

Leda (Correggio)

La copie faite en 1604 par Eugenio Cajés avant la mutilation et la restauration (Museo del Prado, Madrid).

la Leda Il est un peint huile toile (152x191 cm) par Antonio Allegri dit Corrège, daté 1530-1531 autour et stocké dans Gemäldegalerie de Berlin.

histoire

La série de Loves de Jupiter Il a été conçu après le succès de la toile Vénus et Cupidon avec un Satyre. L'artiste a eu le temps d'exécuter quatre toiles, couplées par paires en taille, et peut-être d'autres, il avait été prévu. La chronologie des quatre tableaux est un peu sujet controversé. Mais ce qui importe est d'autant plus importante contribution qu'ils ont donné au développement de peintures mythologiques et profane, avec le nouvel équilibre extraordinaire entre le rendu naturaliste et poétique transfiguration^[1].

pour Vasari^[2], la Leda Il a été commandé (avec un Vénus, qui est, Danae) de Federico II, duc de Mantova, il avait l'intention de faire un don à l'empereur Charles V; dans une étude plus récente^[3], Il a plutôt été suggéré que la peinture, ainsi que d'autres toiles du même Corrège rievocanti les amours de Jupiter, avait été réalisée pour la Ovid hall en Te palazzo à Mantova (Réservé pour l'amant du duc, Isabella Boschetti) Et est passé à la cour Espagne seulement après la mort de Frédéric II (1540), Peut-être à l'enfant de mariage Filippo avec Maria Emanuela d'Aviz (1543).

en 1598 la table était encore conservé aux collections royales espagnoles: ainsi Ganymède, Il a été acheté par Rudolf II et amené à Prague. Les événements ultérieurs de la peinture sont similaires à ceux de la Danae: Passé Suède au moment de Guerre de Trente Ans et de la reine Cristina Il a donné au cardinal Decio Azzolini; par la suite, il est venu au duc Quadreria Philippe d'Orléans. Malgré tous ces changements, il semble que rien ne pouvait nuire à la peinture depuis l'événement a eu lieu dans les années vingt du XVIIIe siècle quand il était en France. Alors le fils du duc d'Orléans, le dévot Luigi, trouver la peinture trop lascif et obscène vous avait fouetté avec un couteau et avait irrémédiablement ruiné le visage de la figure de Leda.

Ses restes ont été donnés à Charles-Antoine Coypel, premier pittore le roi, qui a peint une autre tête. Le tableau, toujours en morceaux dans 1753 a été vendue à un collectionneur Pasquier, qui avait commandé et recomposer le peintre Jacques-François Delyen rifarne d'une tête: en 1755 Nombre de Epinaille acheté au nom de la Roi de Prusse, Frédéric le Grand, qu'il a exposé dans son palais d'été Sanssouci. volé dans France comme butin napoléonienne, Il a de nouveau été restauré par Pierre-Paul Prud'hon. Il a été retourné à Allemagne en 1814 et 1830 Il est conservé dans les musées à Berlin, où le chef de Leda a été repeint à nouveau par Jakob von Schlesinger^[4].

Description et le style

Le tableau illustre le mythe de Leda, épouse de Roi de Sparte Tindaro. Jupiter, invaghitosene, elle a rejoint sous la forme d'un cygne: la femme a donné naissance puis deux œufs géants, qui avait mis deux paires de jumeaux (castor et Clytemnestre, Elena et Pollux).

Au centre de la scène, Corrège Leda est assis frontalement, avec le cygne entre ses cuisses, et sa main aide l'animal à la rejoindre; sur le côté gauche, Cupidon avec la harpe et deux cupidons avec flûtes accompagner le couple. Du côté droit du tableau représente deux étapes de l'histoire: les premières approches entre Jupiter-cygne et la femme réticente et l'oiseau vole loin en joue Leda. L'artiste doit connaître la tradition iconographique le mythe: en fait, il a réalisé, même une étude de Leda de Michel-Ange^[5].

Pour avoir une idée de la façon dont devait comparaître devant la mutilation et la restauration peut être comparée à la copie que Eugenio Coxes a pris la peinture avant de quitter l'Espagne. Les différences les plus importantes se rapportent à l'expression et la posture de la reine. Son visage a été marquée par une expression claire mais douce de plaisir, renforcée par la légère cambrure du dos de sa tête et son virage à droite. Une pose similaire à celle choisie par Corrège pour la nymphe Io en place pour se joindre à Jupiter.

Leda (Correggio)

Réunion du Cygne

Leda (Correggio)

Leda après liaison

Il a été noté que, au lieu de la peinture rénovateur a voulu corriger cette expression pose de la peinture trop lascive chaste et modeste et en éliminant la torsion séduisante de la tête qui avait créé le Corrège.

Dans le tableau sont représentés trois moments de la rencontre entre Léda et le cygne: le bon moment où la reine, représentée comme une jeune fille, se moque et tente de conjurer le cygne à elle, au centre de l'union heureux maintenant entre les deux et, toujours à droite, le moment suivant la réunion où le cygne s'envole et la jeune fille dans l'acte de mettre sur le regarde avec une expression d'amour et de reconnaissance.

Il n'a jamais eu auparavant un artiste a pu peindre avec une telle fraîcheur et le bonheur narratif du mythe Leda et si, comme il semble, Corrège a été inspiré par des modèles antiques pour les poses de la femelle figures, on peut dire que la tradition antérieure ne servait que l'inspiration générique et bientôt transfigurée, depuis trop ressenti en lui la nécessité de saisir les aspects les plus intimes et humaines de l'histoire d'amour intense entre la jeune reine et le cygne.

Il a été suggéré que la Leda Il a été conçu comme une contrepartie Danae pour le même environnement: le vol du cygne sur la droite, vous pourriez alors envisager comment dirigé vers le paysage qui peut être vu depuis la fenêtre de la tour où il est verrouillé Danae.

notes

^ Pierluigi De Vecchi et Elda Cerchiari, art temps, Volume 2, Bompiani, Milan 1999, p. 236. ISBN 88-451-7212-0
^ Giorgio Vasari, « La plupart des vies des excellents peintres, sculpteurs et architectes, Florence 1550, ed. contre. par Luciano Bellosi et Aldo Rossi, Einaudi, turin 1991, II, p. 563.
^ Egon Verheyen, Les amours de Jupiter Corrège, en Journal des Instituts Warburg et Courtauld, XXIX (1966), Pp. 160-192.
^ Cecil Gould, Les tableaux de Corrège, Londres 1976, pp. 194-196.
^ Arthur Ewart Popham, Dessins du Corrège, Londres 1957, cat. n. 84.

bibliographie

Giuseppe Adani, peintre universel Corrège, Silvana Editoriale, Corrège, 2007. ISBN 978-88-366-0977-2

D'autres projets

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liens externes

Corrège onglet Art Home, à partir de laquelle une partie du texte, correggioarthome.it.